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Dans "envie" il y a "en vie"... Ecoutez-vous !

Qu’est-ce qui fait que vous êtes aujourd’hui comptable, avocat, pharmacien, ingénieur, boucher… ?

Le poids de l’histoire familiale

Souvent l’histoire familiale, pour peu que l’on s’y intéresse, permettrait de trouver des réponses à ces questions.

Quand vient le moment de l’orientation, chacun de nous, à défaut d’avoir en lui une vocation bien ancrée, une forme de prédestination, cherche dans les modèles familiaux qui l’entourent pour se décider. Ainsi on fait comme son père, sa mère, son oncle, son grand-père qui avant nous ont tracé une voie.

C’est simple les voies, il n’y a qu’à les suivre et on sait où elles mènent… Cela peut avoir un côté rassurant, dans un univers où règne l’incertitude.

C’est ainsi qu’un beau matin, on se retrouve tous ensemble sur une autoroute, le même samedi matin, en direction du Sud, à rouler au pas et à patienter aux mêmes péages.

L’orientation est souvent faite de modèles parentaux. Elle est aussi faite, à l’appui de ces modèles que l’on nous tend, de nos capacités, de nos compétences innées, de nos savoir-faire… bref, de toutes ces choses qui nous font entrer dans ces catégories de « bon en maths », ou inversement « allergique aux maths », doué en rédaction, capable d’apprendre tout par cœur et j’en passe.

La prédestination par les talents naturels

Pour reprendre nos exemples précédents, on fait donc de la comptabilité parce que l’on est à l’aise avec les chiffres ; on devient avocat parce que l’on est capable de mémoriser sans faiblir quantité d’informations obscures ; on devient ingénieur parce que l’on est doué en physique ; on devient pharmacien parce que l’on est doué en chimie, etc…

En y songeant, chacun de nous est à même d’analyser ses choix professionnels avec lucidité : ils n’ont fait que peu de place à nos motivations et à nos envies.

C’est ainsi qu’à 40 ans, parfois plus tôt, parfois plus tard, on parle d’une crise du milieu de vie, autrement dit, on éprouve cette sensation d’être passé à côté de ce pourquoi on se sent fait, quand ce n’est pas à côté de ce que l’on aime.

J’en rencontre pas mal de ces adultes dans le cadre de Miroir d’Avenir (www.miroirdavenir.com) qui se retrouvent confrontés à des choix professionnels qu’ils n’ont pas faits en réalité et qui se sont laissés porter par l’inné (la bosse des maths), le destin (l’entreprise des parents) ou l’opportunité (le besoin de la société en informaticiens).

Les anglo-saxons appellent cela d’une expression « to be the right man in the right place » : c’est toute l’ambition qui est la mienne au travers de Miroir d’Avenir, que de contribuer à ce que chacun trouve ce pour quoi il est fait et trouve la place qui est la sienne dans le monde professionnel.

Envie de qualité de vie au travail

Or cette juste place, on le sait aujourd’hui clairement, participe à la qualité de vie au travail, dans la mesure où, en trouvant sa place dans l’entreprise, chacun va être réellement en mesure d’exprimer sa pleine capacité, pour le plus grand profit de son organisation qui y trouvera tout son intérêt.

L’envie, tel est le maître mot.

Il est à l’origine de la motivation, ce qui nous meut. L’envie suppose de prendre en considération ses centres d’intérêt, avant même de parler de savoir-faire et de compétences.

Car si les compétences peuvent toujours s’acquérir, l’envie, elle, on l’a ou on ne l’a pas.

Et dans « envie » il y a « en vie » et j’aurais envie de dire : pour vous sentir en vie, sachez être à l’écoute de vos envies…


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